Le 8 mars n’est pas la journée de la femme mais la journée internationale de lutte pour les droits des femmes. Les confinements ont mis en lumière que les femmes sont indispensables au fonctionnement de la société et invisibilisées en permanence.
Les femmes subissent particulièrement la précarité, les temps partiels, les petits boulots précaires et l’écart de rémunération persiste à 25 % entre les femmes et les hommes.
Nous revendiquons une augmentation générale des salaires et des pensions.
Nous revendiquons des mesures ambitieuses, urgentes et financées pour mettre fin aux inégalités concernant les déroulements de carrière.
Signataires : CGT FSU UNSA Nous Toutes PCF NPA La France Insoumise